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Tariff On, Tariff Off- How will this affect interest rates? Tarifs appliqués, tarifs supprimés : quel impact cela aura-t-il sur les taux d’intérêt ?

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Let’s start with a look at what’s been happening with interest rates over the last year. 

A year ago, the 5-year government of Canada bond had a yield of 3.52% versus 2.65% now (as of yesterday afternoon). This affects Fixed rates-chart above.

Over that period, the Bank of Canada cut its target overnight rate seven times from 5.00% to 2.75%. This affects Bank’s prime rates which in turn directly affects Variable rates.

How did rates come down so much? The Bank of Canada held rates high enough to make significant progress on getting inflation under control before starting to ease, and the economy, broadly, has kept chugging along. Last week, the Bank of Canada summed up the current situation as follows: “The Canadian economy entered 2025 in a solid position, with inflation close to the 2% target and robust GDP growth.”

So that’s it, smooth sailing ahead, right? Nope. The next lines in their statement: “However, heightened trade tensions and tariffs imposed by the United States will likely slow the pace of economic activity and increase inflationary pressures in Canada. The economic outlook continues to be subject to more-than-usual uncertainty because of the rapidly evolving policy landscape.”

Central banks, who arguably had a tough enough job already, now also have to navigate a trade war… and not just a run of the mill trade war, one where tariffs can be announced, halved (or doubled), postponed (or moved up) in a matter of days (if not hours).

Outside of that, on Tuesday, Canadian CPI came in higher than expected at 2.6% (vs. expectations of 2.2%). This could reduce the Bank of Canada’s flexibility and might put them on hold for further inflation data.

In the US, the Federal reserve held their target rate steady on Wednesday. They, similarly, noted the potential for increased inflation and economic slowdown stemming from tariffs. They could also be on hold for some time.

Next week, watch for US initial jobless claims and US GDP on the 27th followed by Canadian GDP on the 28th.

Managing interest rate risk is another job that was tough enough already and now is subject to even greater uncertainty. The only thing that seems fairly safe to predict is that heightened volatility is likely here for a while.

Sources:This Market Commentary from First National Bank, Pic of Graph:Bloomberg

Commençons par examiner l’évolution des taux d’intérêt au cours de la dernière année.

Il y a un an, le rendement des obligations du gouvernement canadien à 5 ans était de 3,52 %, contre 2,65 % aujourd’hui (hier après-midi). Cela a une incidence sur les taux fixes (voir le graphique ci-dessus).

Au cours de cette période, la Banque du Canada a abaissé son taux cible du financement à un jour à sept reprises, le faisant passer de 5,00 % à 2,75 %. Cette baisse a une incidence sur les taux préférentiels, qui, à leur tour, ont une incidence directe sur les taux variables.

Comment les taux ont-ils pu baisser autant ? La Banque du Canada a maintenu ses taux suffisamment élevés pour réaliser des progrès significatifs dans la maîtrise de l’inflation avant de commencer à assouplir sa politique, et l’économie, dans son ensemble, a continué de progresser. La semaine dernière, la Banque du Canada résumait ainsi la situation actuelle : « L’économie canadienne a entamé 2025 en bonne position, avec une inflation proche de la cible de 2 % et une croissance robuste du PIB. »

Alors, tout va bien, n’est-ce pas ? Non. Voici ce qu’ils en disent : « Cependant, les tensions commerciales accrues et les tarifs douaniers imposés par les États-Unis ralentiront probablement le rythme de l’activité économique et accentueront les pressions inflationnistes au Canada. Les perspectives économiques demeurent plus incertaines qu’à l’habitude en raison de l’évolution rapide du contexte politique. »

Les banques centrales, dont la tâche était déjà sans doute déjà difficile, doivent désormais gérer une guerre commerciale… et pas seulement une guerre commerciale ordinaire, une guerre où les tarifs douaniers peuvent être annoncés, réduits de moitié (ou doublés), reportés (ou devancés) en quelques jours (voire quelques heures). Par ailleurs, mardi, l’IPC canadien a dépassé les attentes, s’établissant à 2,6 % (contre 2,2 % attendus). Cela pourrait réduire la marge de manœuvre de la Banque du Canada et la contraindre à attendre de nouvelles données sur l’inflation.

Aux États-Unis, la Réserve fédérale a maintenu son taux directeur inchangé mercredi. Elle a également souligné le risque d’une hausse de l’inflation et d’un ralentissement économique liés aux droits de douane. Elle pourrait également maintenir son taux directeur inchangé pendant un certain temps.

La semaine prochaine, surveillez les demandes d’allocations chômage et le PIB américain le 27, puis le PIB canadien le 28.

La gestion du risque de taux d’intérêt est une tâche déjà difficile, mais elle est désormais soumise à une incertitude encore plus grande. La seule chose que l’on puisse prédire avec assez de certitude est une volatilité accrue qui devrait perdurer pendant un certain temps.

Sources : Ce commentaire de marché de la First National Bank, graphique de Bloomberg

Karen Parrot
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